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Le blogue de Véronique Dubeau-Valade
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27 janvier 2016

Une force tranquille pour la France

La France tranquille

Alain Juppé me paraît la personne la mieux à même, à ce jour, de remettre la France sur des rails bien parallèles et bien huilés ... Son âge est celui de l'expérience, de la sagesse mais aussi celui d'une responsabilité qui lui fera mener les réformes nécessaires sans être obnubilé par un éventuel second mandat.

Son tempérament de rassembleur est également un gage de sérénité retrouvée pour notre pays et de respect pour ses partenaires centristes.

Je souhaite un centre fort.

Je souhaite que soit respecté le principe d'indépendance d'un parti centriste fort.

Pour autant, je participe, à titre personnel, au comité de soutien bergeracois pour Alain Juppé, convaincue que ses équipes respecteront mes valeurs centristes comme je respecte les idées que porte individuellement chacune des personnes que je rencontre.

J'invite :

  • tous ceux qui veulent agir pour leur pays en toute indépendance à rejoindre l'Union des Démocrates et Indépendants (UDI), à participer au débat engagé par son président Jean-Christophe Lagarde et localement par la fédération de la Dordogne ;

et

  • tous ceux qui, fort de leurs valeurs centristes, veulent une "force tranquille" (!) pour la France à rejoindre le comité de soutien de Bergerac et à co-construire le projet présidentiel de Alain Juppé.
Alain Juppé pour la France

Alain Juppé est né le 15 août 1945 à Mont-de-Marsan, dans les Landes. Il est le fils de Robert Juppé, résistant, agriculteur, et de Marie Darroze. Après ses études secondaires au lycée Victor-Duruy de sa ville natale, ses résultats scolaires lui permettent d'intégrer les classes préparatoires au Lycée Louis-le-Grand à...

http://www.alainjuppe2017.fr
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Commentaires

Dans ma vie, j’ai tiré trop bas.
Quand je devais faire un discours, il y avait un conseiller pour me dire : "mettez cette phrase, cela fera plaisir à Untel" ou "supprimez cette phrase, elle gênerait Untel". J’ajoutais, je supprimais. Personne au fond ne m’en savait gré et je m’étais seulement un peu dégradé.
J’ai accepté trop de compromis.
Refusez. Soyez vous-mêmes. Montez, montez le ton. Visez plus haut. … plus haut
(Georges Pompidou, 27 mars 1974 - date de son dernier conseil des ministres)

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