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Le blogue de Véronique Dubeau-Valade
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16 août 2015

C'était la fête à Nailhac

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et pendant ce temps-là dans l'église, un auditoire attentif découvrait ou se remémorait Monsieur le Président Sylvain Floirat avec :

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  • Michel Massénat pour la présentation du livre éponyme (incluant un CD audio vendu au prix de 25,00 € et disponible à Couze ou Brive par mon intermédiaire),
  • Michel Joffre, ancien maire ayant succédé à Sylvain Floirat avec qui il avait des relations de "petit fils" ;
  • l'inénarrable Ulysse Tallet racontant la promotion de la truffe à Paris, avec sa truie se promenant sur les Champs-Elysées ! ;
  • et enfin François Gaumet, responsable du pôle Développement endogène à la CCI de la Dordogne qui, recruté en son temps par Sylvain Floirat, a raconté "le président de la CCI" et son influence encore présente sur le développement de notre département ; son intérêt tant pour l'aménagement du territoire que pour son développement y compris à l'export l'avait amené à structurer les services pour permettre déjà de mutualiser les moyens au service des entreprises. Il n'hésitait pas à mettre ses propres collaborateurs au service du développement périgordin et "la fondation pour l'avenir du Périgord" a permis l'émergence d'entreprises toujours présentes aujourd'hui dans tous les domaines agricole, commercial, industriel, artisanal et culturel ;
  • Anne Cluzeau-Pédenon a quant à elle chiffré l'apport financier de Sylvain Floirat à la commune - près de 135.000 € - au cours de ses mandatures. Le maire Sylvain Floirat s'il savait lui-même aller chercher les subventions auprès des financeurs reconnus mettait aussi la main à la poche pour la voirie, les animations, la rénovation des bâtiments dont celle de l'église où se tenait cette conférence.

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Commentaires

Dans ma vie, j’ai tiré trop bas.
Quand je devais faire un discours, il y avait un conseiller pour me dire : "mettez cette phrase, cela fera plaisir à Untel" ou "supprimez cette phrase, elle gênerait Untel". J’ajoutais, je supprimais. Personne au fond ne m’en savait gré et je m’étais seulement un peu dégradé.
J’ai accepté trop de compromis.
Refusez. Soyez vous-mêmes. Montez, montez le ton. Visez plus haut. … plus haut
(Georges Pompidou, 27 mars 1974 - date de son dernier conseil des ministres)

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