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Le blogue de Véronique Dubeau-Valade
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15 juillet 2015

Voilà comment ...

Je l'expliquai dans un récent article ...

La taxe d'ordures ménagères (TOM) est désormais perçue par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord (CCBDP).

C'était auparavant une recette pour la commune qui finançait :

  • la collecte des déchets ménagers par camion ;
  • la collecte des déchets publics (jardins, bords de route, espaces publics, déchets verts, ...) par les employés municipaux ;
  • la gestion des déchets.

La communauté de communes a pris en charge la collecte des déchets ménagers par camion et leur gestion par le SMD 3. Elle va bientôt confier la totalité du territoire au SIGED qui n'apportera pas les mêmes services que ceux négociés par l'équipe de Véronique Dubeau-Valade auprès de NCI Environnement.

La communauté de communes :

  • perçoit la taxe d'ordures ménagères
  • règle les factures de la collecte et de la gestion des déchets ménagers

et laisse à la charge de la commune la collecte des déchets communaux (jardins, bords de route, espaces publics, déchets verts, etc. ...).

L'équipe municipale animée par Véronique Dubeau-Valade avait chiffré le coût de ce dernier poste et obtenu que la Communauté de Communes lui reverse la quote-part de la TOM correspondant aux frais de main-d'oeuvre et d'équipements y afférant.

PoubellesA peine élu maire et consécutivement délégué à la communauté de communes, Jean-Louis Lafage restituait à la CCBDP ce montant laissant ainsi une part de bénéfice illégale à la CCBDP. La TOM doit en effet correspondre exactement aux frais qu'elle est censée couvrir.

Du coup, faute de moyens financiers adaptés, la commune n'assure plus la gestion des déchets communaux comme, hélas, Couzots et touristes peuvent le constater dans les Jardins de la Couze. Preuve en est cette photographie prise par un promeneur le 6 juillet 2015  ...

C'est cela l'image de Couze aujourd'hui ...

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Commentaires

Dans ma vie, j’ai tiré trop bas.
Quand je devais faire un discours, il y avait un conseiller pour me dire : "mettez cette phrase, cela fera plaisir à Untel" ou "supprimez cette phrase, elle gênerait Untel". J’ajoutais, je supprimais. Personne au fond ne m’en savait gré et je m’étais seulement un peu dégradé.
J’ai accepté trop de compromis.
Refusez. Soyez vous-mêmes. Montez, montez le ton. Visez plus haut. … plus haut
(Georges Pompidou, 27 mars 1974 - date de son dernier conseil des ministres)

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