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Le blogue de Véronique Dubeau-Valade
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21 avril 2012

Une blague mignonne ... Un peu d'humour ...

La maîtresse d'école annonce aux enfants une grande nouvelle.

Cet après-midi, déclare-t-elle ravie, M. François Hollande vient visiter notre école. C'est un grand honneur. Pour l'occasion, j'aimerais que chacun d'entre vous lui fasse une petite surprise ou lui prépare une petite phrase gentille.

Grande effervescence dans la petite classe : les enfants sont tout excités et réfléchissent à leur cadeau ou à leur phrase.

La maîtresse commence à les interroger : Toi, Juliette, tu as prévu quoi ? Je vais lui faire un joli dessin, répond la gamine sûre de son effet. Formidable ! répond la maîtresse. Et toi, Stéphane ? Moi, je vais demander à ma maman de lui faire des petits gâteaux.

C'est parfait, ça ! répond la maîtresse visiblement emballée. Et toi, Toto ? Ben, Maîtresse, ma chatte vient juste d'avoir des petits. Je dirai à M. François Hollande que j'ai 6 chatons socialistes à la maison ! Excellent, Toto, c'est une très bonne idée. Je suis sûr qu'il sera ravi ! Bravo !

La maîtresse est sur un nuage.

L'après-midi arrive et M. François Hollande visite les classes une à une. Arrivé dans la dernière, il félicite la maîtresse pour son travail, puis les enfants apportent les cadeaux et font moult compliments. Arrive le tour de Toto qui dit : Madame, ma chatte, elle a eu 6 petits, et ben y en a 2 qui sont socialistes !

M. François Hollande d'abord interloqué, part d'un grand éclat de rire et complimente Toto pour ses chatons. Quand il quitte les lieux, la maîtresse, encore sous le charme de sa rencontre s'approche de Toto et lui demande par curiosité : Toto, c'était très bien, mais pourquoi lui as-tu dit qu'il y avait que 2 chatons sur 6 qui étaient socialistes, alors que ce matin tu m'avais dit les 6 ??? Ben, maîtresse, entre temps, il y en a déjà 4 qui ont ouvert les yeux !

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Commentaires

Dans ma vie, j’ai tiré trop bas.
Quand je devais faire un discours, il y avait un conseiller pour me dire : "mettez cette phrase, cela fera plaisir à Untel" ou "supprimez cette phrase, elle gênerait Untel". J’ajoutais, je supprimais. Personne au fond ne m’en savait gré et je m’étais seulement un peu dégradé.
J’ai accepté trop de compromis.
Refusez. Soyez vous-mêmes. Montez, montez le ton. Visez plus haut. … plus haut
(Georges Pompidou, 27 mars 1974 - date de son dernier conseil des ministres)

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